Une chambre sacrée

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Er' Kik'r attendait nerveusement sur une banquette pourtant confortable d'un logement aux allures royales. Er' Kik'r était un thakwaash, il était le vice gouverneur de la planète et ministre de l'économie de Pau city. des bouffées de stress montaient en lui le lançant et lui donnant des nausée.
Tout avait commencé deux jours plus tôt. un groupe de deux cambrioleurs avait tenté de s'introduire dans cet appartement. L'appartement bien que luxueux était inusité depuis près de 30 ans, la porte scellée d'une façon même dont un serrurier aurait été incapable de le faire. De fait, on soupçonnait dans le peuple que cet appartement était un lieu de magie noire. On ne savait pas ce qu'avaient fait les voleur, mais ils avaient apparemment essayés de forcer la porte. Il s'était produit une déflagration étrange et plusieurs centaines de témoins affirmaient l'avoir entendue. Les deux hommes, des humains, étaient mort, et la porte s'était ouverte.
Er' Kik'r avait immédiatement tenté d'en informer l'Empire. Il ne sut comment mais ce ne fut pas un impérial qui répondit mais un twi lek qui se prénommait lui même darth Aeroth. Il lui avait dit qu'il informerait lui même l'empereur de cela et qu'il viendrait lui constater les faits.
Voila pourquoi Er' Kik'r Stressait en l'attendant. il savait pertinemment que "darth" avait une connotation sith. Ou alors c'était un petit malin, ou un surnom. Er' Kik'r l'ésperait de toutes ses forces.

Le twi'lek posa en douceur sont vaisseaux prés du bâtiment. Il s'était interrogé tout le long de sont trajet quand à l'origine de l'appartement. Il avait réussi à bidouiller un relais holo-com pour l'avertir d'une communication comportant certains mots clefs. Et il préférais être au courant de lieux emplis du coté obscur plutôt que de laisser l'information a Tenebris. Le sith n'avait d'ailleurs pas encore d'idée fixe quand à l'empereur. Il lui avait semblé calme et posé mais on ne devenais pas le numéro un d'un faction en faisant des sourires. Autant se méfier donc...

Il traversa les quelques dizaines de mètres qui le séparais de l'appartement. Juste devant la porte se trouvais le thakwaash qui l'avais contacté. Apparemment, croiser la route d'un seigneur sith lui filais sacrément les jetons...

Restez ici, nous discuterons après mon inspection

Puis il entra. L'entrée de l'appartement n'était éclairée que par l'ouverture de la porte mais le sith put distinguer des runes ainsi que quelques glyphes sith. Déployant la Force autour de lui, il fit courir le coté obscur le long des murs, remplissant ainsi toutes les pièces. La Force était présente dans le bâtiment. Et tout les mécanismes de sécurité se désactivèrent au contact du coté obscur.
L'endroit lui faisait penser au château de Bast sur Vjun. L'antre de Vador était un maelström du coté obscur. Tout comme ici Un endroit parfait pour un sith pour y méditer et planifier quelques actions.

Une fois l'inspection faite, il retourna vers le thakwaash :

Qu'avez vous à me dire sur cet endroit? Faites vite, mon temps est precieux...

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Er'kik'r était tétanisé en face de ce grand twi-lek. Il émanait de lui une aura qui pétrifiait le petit être. l'homme avait beau affirmer être un "envoyé" de l'empereur, Er'kik'r était loin d'être rassuré. Il déglutit et c'est d'une voix mal assurée qu'il tenta de répondre au nommé Darth Aeroth.

-Nous ne savons que très peu de chose monsieur, de cet appartement. Nous l'avons "découvert" récemment, deux voleurs ont tenté de s'y introduire. Il s'est passé d'étrange événements et les deux hommes sont morts. Beaucoup de citoyen craignent la magie noire, et des auras étranges flottent dans l'air. On espérait justement que l'envoyé impérial nous éclaircirait sur ce point. Nous voudrions savoir si oui ou non cet appartement présente un danger potentiel.

Er'kik'r était assez cultivé pour savoir que le surnom "Darth" caractérisait les adepte de ce qu'on appelait la force obscur, bref, des personnages légendaires inversement égaux aux non moins légendaires jedis.

-Les seules informations que nous avons pu tirer de ce lieu nous révèle qu'elle fut habité durant près de 400 ans par un seigneur sith jusqu'à il y a quelques dizaines d'années. Bien sur, nous cherchons une autre solution car la legende des siths est bien peu probable.

L'attitude de l'autochtone énervais grandement le sith... D'un geste fluide de la main, il invoqua la Force pour obliger Er'kik'r à se détendre.

Au contraire, vous devriez croire à cette histoire. Je peut sentir l'aura d'un puissant utilisateur de la Force dans ces murs. De plus, la seule chose que vous ou vos voisins devrons savoir, c'est que je suis devenu le propriétaire de cet endroit. Quant à vous, ne divulguez rien de ce que je vient de dire. D'ailleurs, je vous prend à mon service, histoire de ne pas avoir d'ennuis avec les locaux. Etre au service d'un sith offre certains... privilèges. J'espere que vous serez d'accord.

Le sith n'avait aucun doutes quant à la réponse de sont interlocuteur. Le choix entre rester anonyme et s'allier avec un personnage puissant était vite fait.

Il est possible que je reçoive de la visite d'ici quelques temps... Quelques soldats ou bien quelques personnes de ma faction... J'espère ne pas être importuné.

Il pensais déjà à toutes les possibilités que lui offrais un "pied à terre" loin de l'académie sith, loin du regard de sont maitre... Tel Vador sur Vjun, Aeroth allais pouvoir "profiter" de sa résidence pour élaborer quelques plans et stratégies...

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Après un court moment de détente inexpliqué, Er'kik'r senti sa nervosité redoubler lorsque le twi-lek dit expressément qu'il était un sith. Er'kik n'avait jamais crus à c'est histoires et il était estomaqué. Il balbutia:

-A... à... à votre service?? Je suis le vice gouverneur de la planète Utapau, et je ne pense pas avoir d'ordre à recevoir de quiconque autre que le Gouverneur de la planète ou l'empereur lui même. Ces locaux sont encore sous surveillance, on à convoqué l'Empire pour éclaircir cette histoire, pas pour l'étouffer avec quelqu'un qui prétend pouvoir tuer d'un seul mouvement de la main.

Il avait rassemblé son courage pour sortir ces mots mais maintenant, chaque parcelle de son petit corps était soumis à de violents tremblements. Il savait qu'il allait devoir se résigner face au Twi-lek, mais voulait donner une image forte de lui même, ne pas lui faire croire à la faiblesse d'Utapau qui bien que imperiale officiellement, manifeste de jours en jours une tendance pro-républicaine.

Le sith fut surpris de la franchise de l'autochtone. Apparemment, il n'avais pas encore asser peur. Il se retourna lentement puis braqua ses deux yeux jaunes sur le vice président d'utapau :

Je pense que l'on s'est mal compris... Quand je parle d'etre à mon service, j'y pensais d'une maniere plus ou moins officieuse. De plus, se mettre à dos un seigneur sith n'est pas la meilleure option si l'ont tient à profiter d'une retraite bien méritée... J'espere que nous nous comprenons desormais...

Et pour joindre le geste à la parole, aeroth demanbra un droide protocolaire situé juste a coté d'Er'kik par le biais de la Force. Le bruit du métal qui s'arrache ainsi que le grésillement des etincelles fit palir encore plus le representant.

Je n'apprecie pas etre contredit. Estimez vous heureux de ne pas etre le droide. Et pour vous eclaircir sur le sujet, l'Empire et les Sith sont alliés desormais. Donc si vous acceptez l'Empire, je ne doute pas que vous me reserverez un acceuil des plus chaleureux. Je doute fortement qu'un escadron de troopers sonnant à votre domicile soit des plus agréable.

Apparemment, il avait compris à qui il avait à faire. Avoir été contredit par Er'kik avait grandement énèrver le sith mais le tuer n'aurais servis à rien bien au contraire...
D'un pas rapide, il se dirigea vers l'infiltrateur et s'empara de la liaison comlink :

Ici le seigneur Aeroth, preparez immediatement un convoi avec cents esclaves ains que quelques novices. Je vous joint les coordonnées de la destination...

Une fois l'envoi du convoi confirmée, le sith rejoint une dernier fois le vice gouverneur :

Il semble que je vais recevoir de la visite dans peut de temps. Voici les données des transpondeurs du convoi qui devraient arriver d'ici peu. J'espere qu'ils n'auront aucune difficultées pour me rejoindre.

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Er'kik'r susauta lorsqu'il vit le droïde être écrasé par de lourdes masses invisibles. Il se demanda d'abord si ce n'était pas un truc, ou un quelconque stratagème pour l'impressionner, mais il ne déliberra pas longtemps. au final, la proposition du sith lui paraissait désormais généreuse, surtout que Er'kik pourrait, à terme avoir un profit de ces services.
Er'kik fut surpris lorsqu'il apprit que l'Empire avait fait alliance avec les siths. De telles informations n'avaient pas été divulgué. Même pas au vice governeur. Il avait beau être confiant en l'Empire, il ne put s'empecher de douter, une fois encore, de la sagesse de cette action.
Ne voulant en aucun point être mal vu par cet être puissant Er'kik acquiesca en entendant parlr d'une éventuelle visite imperiale chez lui.
A l'évocation des esclaves, il expliqua calmenent

-Je vous prie de me pardonner seigneur, il insista sur le mot, mais l'esclavagisme est aboli sur la planète et je ne pense pas que... il ne finit pas sa phrase, en enchainement immediatement voyant que le sith le regardait:
-mais vos ordres seront bien entendus executé et le convoi arriveras sans problème.

Aeroth sourit brievement quand il comprit qu'il avait acquis la loyauté d'Er'kik'r. Meme si c'etait par la peur qu'il lui inspirait, peut lui en importait... Il avait desormais un lien avec les natifs et en cas de trouble, cela pouvais servir.

L'esclavagisme n'est qu'une question de point de vue... Disons qu'ils sont des travailleurs bénévoles... Ne vous inquietez pas, notre présence ne vous importunera pas. Du moins, tant que vous ne venez pas fouiner dans les parages. Je n'authoriserais que votre présence en ces lieux et faites passer un message : Si d'aventure un natif se faisait reperer dans les environs, les repercutions sur la population sera atroce. Faites moi confiance...

J'espere seulement que vous n'aurez pas l'idée absurde de me trahir.

Le sith se delectais de l'effet que la peur pouvait instiller... Elle assurais une obéissance quasi totale.